Adrien Pinot, qui avait fait valser sévèrement Théo Epailly. Comme on dit, mieux vaut l’avoir dans son équipe
À Saint-Priest, en 2022/2023, le capitaine s’appelait Adrien Pinot. À Beauvais, la saison passée, bis repetita dès sa première année au club. De là à dire que la dernière recrue de ce Boulogne 2024/2025, âgée de seulement 23 ans, sera forcément le futur capitaine de l’USBCO, on n’ira pas jusque-là, mais ce Pinot n’est pas qu’un simple joueur, il aime diriger la manœuvre.
Lors de la double confrontation Beauvais-Boulogne cette année, il n’est évidemment pas passé inaperçu aux yeux des dirigeants rouges et noirs. Et du public de la Libé tout court qui l’a carrément détesté quand, déjà averti, il a envoyé valdinguer Théo Epailly assez brutalement. Désormais, son physique (1,94 m), il le mettra au service de Boulogne en National, bien décidé à devenir plus qu’un bon joueur de N2. Il devra apprendre à contrôler ses nerfs, lui qui avait écopé de huit matchs de suspension en début de saison dernière.
